13 Hours
Réalisé par Micharl Bay
Scénario : Chuck Hogan et Mitchell Zuckoff
Photographie : Dion Beebe
Montage : Pietro Scalia
Musique : Lorne Balfe
Pays : Américain
Genre : Action, guerre
Durée : 2h24min
Sortie le 30 Mars 2016
Casting :
John Krasinski, James Badge Dale, Max Martini, Pablo Schreiber, David Denman...
Benghazi (Libye), 11 septembre 2012. Face à des assaillants sur-armés et bien supérieurs en nombre, six hommes ont eu le courage de tenter l'impossible. Leur combat a duré 13 heures. Ceci est une histoire vraie.
Michael Bay délaisse les blockbusters à gros budget et est de retour avec un autre genre qu'il affectionne, le film de guerre. Michael Bay est souvent critiqué pour son abus de testostérone, mais il sait aussi crée des oeuvres intelligentes comme son No Pain No Gain qui est pour moi son meilleur film. Avec 13 Hours il réalise un film de guerre dans la lignée de Du Sang et Des larmes. Des hommes livrés à eux même, à lutter pour la survie contre une force plus conséquente que la leurs. Il est moins bon que ce dernier globalement. Son principal défaut est qu'il est parfois assez brouillon et nous perd parfois. La présentation de ses personnages l'est aussi, donc rend le film moins émouvant. 13 hours reste tout de même réussit. On est parfois un peu perdus à travers qui est qui. Les personnages sont tout de même très bien interprété par leurs acteurs pas très connue mais très convainquant. 13 Hours ne déroge pas la règle des autres films de Michael Bay. Sa pète de partout. Grâce à sa mise en scène (parfois un peu illisible), il sait monté la tension quand il faut. Le film est très bien rythmé. Il nous rend ce conflits très étouffants, et sous tension tout le long. Il ne fait jamais dans la dentelle mais garde une part de réalisme. Dans ce film, le réalisateur américain apporte d'une manière positive une certaine admiration pour ses combattants.
13 Hours est un film de lutte pour la survie, plein de testostérone gardant tout de même du réalisme. C'est un film réussit, doté d'une mise en scène étouffante qui met nous spectateurs sous tension tout le long.